Shugo Tokumaru – Concert Jeune Public
A voir Shugo Tokumaru bidouiller la centaine d’instruments qu’il possède – dont nombre de jouets –on aurait vite fait de le ranger dans la même catégorie lo-fi que Daniel Johnston. Raté : s’il partage son sens du songwriting, ses chansons à la production irréprochable sont plus proches du fourmillement sonore des Flaming Lips et de la grâce de Sufjan Stevens. Bonus : après avoir longtemps bricolé l’entièreté de ses disques dans son coin, Tokumaru s’est aujourd’hui entouré de musiciens (dont le batteur de Deerhoof) pour un album qui sonne comme l’aboutissement d’une carrière de près de 15 ans. Le tout dans sa langue natale, le japonais. > Lire la suite
Shugo Tokumaru
A voir Shugo Tokumaru bidouiller la centaine d’instruments qu’il possède – dont nombre de jouets –on aurait vite fait de le ranger dans la même catégorie lo-fi que Daniel Johnston. Raté : s’il partage son sens du songwriting, ses chansons à la production irréprochable sont plus proches du fourmillement sonore des Flaming Lips et de la grâce de Sufjan Stevens. Bonus : après avoir longtemps bricolé l’entièreté de ses disques dans son coin, Tokumaru s’est aujourd’hui entouré de musiciens (dont le batteur de Deerhoof) pour un album qui sonne comme l’aboutissement d’une carrière de près de 15 ans. Le tout dans sa langue natale, le japonais. > Lire la suite
Show me the body
DU HIP-HOP PUNK AVEC DU BANJO. Notre enthousiasme est tel qu’on se permet des majuscules. Parce que nous aussi, on est un peu punk. Loin d’être un simple concept neo-post-branchouille, les new-yorkais font très forts : croiser les Beastie Boys, Sonic Youth et Death Grips en affirmant une identité folle. Une identité ultra fun, bruyante et prétexte au défouloir général. Une identité poussée à son paroxysme, lorsque les garçons refusent de jouer pour Coachella (avant d’accepter finalement un set de 25 minutes pour pouvoir joindre Los Angeles dans le même temps et participer à un concert destiné à la jeunesse LGBT sans abri). Banjo vie. > Lire la suite
Royal trux
Rocky
Il faut croire que ce quatuor originaire de Lille aime brouiller les pistes. Leurs influences sont aussi diverses qu’apparemment incompatibles ? Peu importe, la voix d’Ines est soul, les basses ronflantes transpirent le funk, les beats puisent dans la house et la dance. Le tout est une électro-pop taillée pour la scène, à ranger dans la même case que Hot Chip et LCD Soundsystem. Pas sûr que ça plaise à Sylvester Stallone, mais à James Murphy oui. > Lire la suite