Plus de dix ans que le psych-surf-garage de The Growlers suscite les métaphores les plus lourdes : leur dernier album « sent bon l’été », on « se croirait à la plage », etc. Pourtant leur musique nous évoque bien plus qu’une amourette de vacances : il faudrait être un gros dur pour que la voix de Brooks Nielsen ne vous mette pas le cœur en pièce. Au fil des disques, les Growlers ont enrichi leur surf music à la cool à grand renfort de synthés dès « Chinese Foutain » (2014), désormais totalement assumés avec « City Club » (2016). C’est d’ailleurs Julian Casablancas – un gars qui s’y connait en synthés – qui est aux manettes sur ce dernier album dont les mélodies nous font toujours autant d’effets.
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For more than ten years the psych-surf-garage music from The Growlers has generated many metaphors. Their last album “had good summer vibes”, made you “feel like you’re on the beach” and so on. However their music is not just about a simple summer love. You would need to be a tough, emotionless person not to be touched by Brooks Nielsen’s voice. Record after record, the band has enriched its surf music with synthesizers, especially since their 2014 album “Chinese Fountain” and this is totally assumed on their 2016 “City Club”. Moreover, it’s no other than Julian Casablancas – who knows a thing or two about synthesizers – who produced the last album, and it works superbly.
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