Black Lips
Défenseurs d'un rock crasseux, DIY (Do-It-Yourself) et sous LSD, connus pour leurs prestations scéniques explosives; les Black Lips se sont constitués, depuis leurs débuts, une tribu de fans dans les rangs desquels on compte aussi bien des post-fluokids que des amateurs de Garage'60s. Sous la fuzz vrombissante, soutenu par une rythmique démoniaque, se cachent de vraies hits Pop, en dignes héritiers des Kinks, 13th Floor Elevators, Sonics, Shadows of Knight... Amis depuis 15 ans, ils se sont construits sur la route et ne s'arrêtent que rarement dans leur fief d'Atlanta. Leur 8eme Lp, produit par Patrick Carney des Black Keys, est plus qu'attendu... Comme leur venue au This is not a love Song!!! > Lire la suite
BRNS
« Pourquoi les belges vont-ils à la messe avec un seau d'eau ? Pour l'Avé Maria ». Ok l'entrée en matière est quelque peu douteuse, mais vous l'aurez compris : BRNS nous arrive tout droit du « plat pays » de Jacques Brel. La récente ascension du quatuor est à l'image de leur univers : fulgurante. Les BRNS ont visiblement digéré l'influence du patrimoine national (Girls In Hawaii ou dEUS pour ne citer qu'eux) pour en recracher une pop d'une intensité prodigieuse. Les morceaux sont de véritables labyrinthes où il est facile d'entrer mais beaucoup moins de s'en extirper. La force de BRNS réside sans doute dans sa maitrise des émotions. Les mélodies sont quasis religieuses, les rythmiques sortent tout droit de cérémonies mayas, tandis que les claviers et autres guitares soutiennent le tout. BRNS ébranle les sens, frôle les corps et pénètre la raison. Quand festival rime avec cérébral... > Lire la suite
Black Strobe
Créé en 1997 et initialement composé d'Arnaud Rebotini et d'Ivan Smagghe, le groupe a su imposer une touche personnelle à base de sons dark et de rythmes Electro Body Music. Black Strobe s'est fait remarqué en remixant quelques groupes cultes (Depeche mode, Rammstein, The Rapture,…). Avec quelques tubes hypnotiques comme "Me and Madonna" (2002) ou "Italian Fireflies" (2003), le duo a démontré sa puissance créative et s'est forgé un nom sur la scène internationale. Après un premier album en 2007 et le départ d'Ivan Smagghe, Arnaud Rebotini s'entoure de quelques musiciens et reprend de mains de maitres la direction du projet pour imposer une techno sans concession, une véritable prestation live éloignée des DJ sets classiques. En juillet 2012, le groupe sort « Boogie In Zero Gravity » un EP très rock qui laisse présager de biens belles choses pour un futur album attendu courant 2013. > Lire la suite
Busy P
DJ, compositeur, producteur,…, boss du label Ed Banger, on ne présente plus Pedro Winter aka Busy P. Incontournable depuis plus d'une décennie, on doit à ce boulimique suractif chasseur de tendances, la mise en lumière sur la scène électro d'artistes comme Zongamin, Uffie, Dj Mehdi, Justice, Mr Oizo et tant d'autres. Busy P a grandi à Paris et s'est construit une identité artistique à base de culture street de rap et de guitare. On l'a vu très investi durant l'été 2011 lors de l'exposition Public Domain à la Gaité Lyrique, hommage à la culture Skate et au groupe culte Dinosaur Jr. En mars 2013, le label Ed Banger Records fête ses 10 ans. A cette occasion, Pedro Winter s'est installé pour quelques jours à Paloma pour préparer son nouveau live "Ed Banger Mega Mix" qu'il présentera lors de sa prestation le samedi 25 mai !!! > Lire la suite
Caribou
Il existe des groupes que l’on associe irrémédiablement à une année. Un peu à l’image du réflexe que provoque 1998 dans notre imaginaire (la Coupe du Monde, rappelez-vous !), impossible de nier que 1992 demeure l’année de Nirvana et 1997 celle de Daft Punk. Tout ça pour dire que 2015 est déjà l’année de Caribou. Déjà largement considéré sur la scène électronique mondiale (notamment depuis la sortie de l’enthousiasmant Swim en 2010), notre gentil chauve diplômé en mathématiques officie désormais dans la catégorie « icône de grande classe ». Une collection de tubes sur « Our Love », son dernier album, quelques lives mémorables et une presse dithyrambique auront fini de couronner le prince. La morale de l’histoire est donc que venir à This Is Not A Love Song c’est encore mieux que gagner la Coupe du Monde. > Lire la suite