DTSQ
Un nouveau crush venu directement de Séoul. Des guitares psyché, une basse ultra groggy, une session rythmique lancée à plein vitesse, des voix tantôt scandées ou évanescentes. On est bluffés. Du garage à la pop psyché aux envolées rock noise, des projections complètement barrées, préparez pour un décollage dans la stratosphère coréenne. > Lire la suite
Fat White Family
3 ans d'absence, on n'y croyait presque plus. Exilés à Sheffield, dans le froid et la grisaille du nord, les banlieusards londoniens étaient en quête d'inspiration et de renouveau. Chose faite avec "Feet", premier extrait de leur prochain album "Serf's Up". Ils mettent de côté leur rock d'after party aux effluves de tabac froid pour explorer de nouvelles sonorités plus sombres, électroniques et industrielles. > Lire la suite
Built to Spill
Rhaaa mais quel plaisir que de recevoir ce groupe majeur de l'indi US ! Rare à voir dans nos contrées , le groupe de l'Idaho mené par le charismatique Doug Martsch viendra distiller ses pop songs aux mélodies complexes, totalement addictives , aux envolées magiques zébrées par les saillies des guitares. 2019 : les 20 ans de leur fantastique 4ème album qu'ils joueront pour l'occasion: "Keep it Like A Secret". Ça sera impossible après les avoir vu... > Lire la suite
Shellac
On peut difficilement faire plus indé et plus mythique que Shellac : un rock radical et minimaliste aux "textures hostiles", des membres à l'attitude fantasque et exigeante, une absence totale de publicité. Tout chez eux se décide par les tripes : ils ne lâchent rien, à commencer par vos oreilles. Nous avions eu l'immense joie de recevoir les maitres du math-rock et de la noise lors de l'édition 2016. Le trio de Chicago nous avaient fait vivre un moment sonique inoubliable , les murs de la grande salle et nos oreilles s'en rappelle encore ! Eux aussi s'en rappellent et avaient promis de revenir : ce sera chose faite cette année pour notre plus grand plaisir ! > Lire la suite
DYGL
Alerte: Albert Hammond Jr aka l’homme qui a révolutionné le rock des années 2000 avec son jeu de guitare, vient de miser sur quatre Japonais dont on ne sait absolument rien. Nul doute qu’après la vague de groupes formés par des gars qui ont grandi pendant les 90’s, il faudra désormais compter sur ceux qui ont passé leurs années de jeunesse une paire de Converse aux pieds, dans leur chambre, à rêvasser au son des Strokes, Rakes et autre Libertines. Les petits tubes en puissance de DYGL ne durent que 3 minutes et misent avant tout sur le dialogue de deux guitares à l’efficacité monstre… Bref ils font du rock comme on en faisait il y a une quinzaine d’année. Et s’ils n’étaient pour l’instant pas parvenus jusqu’aux esgourdes européennes, on se sent un peu privilégié de les avoir à TINALS cet été. > Lire la suite