La presse en parle : Johnny Mafia
La Californie a Ty Segall et Thee Oh Sees, le département de l’Yonne a désormais Johnny Mafia ! Et à en croire la presse, ceux-ci ont les arguments pour rivaliser avec leurs collègues américains : Radio France, Gonzai, Ouï FM et même Télérama se sont intéressés au quatuor garage le plus en vue du moment. A découvrir sur la scène de TINALS le samedi 10 juin !
à voir : les débuts à la télé de king gizzard
Les 7 Australiens n’en finissent plus de monter ! Passé très rapidement du statut d’ovni à celui d’énorme groupe que tous les festivals s’arrachent, King Gizzard a prévu de sortir pas moins de 4 albums en 2017 et vient tout juste de faire leur première apparition télé lors du talk show américain de Conan O’Brien. De quoi patienter d’ici leur passage à TINALS le 11 juin !
Focus programmation : le renouveau du punk anglais
Après Girl Band et Sleaford Mods lors des éditions précédentes, TINALS fait cette année encore la part belle aux héritiers du punk britannique qui renouvelle sans cesse le genre : Goat Girl, Yassassin, Slaves, Shame ou encore HMLTD ont un tas de choses à dire sur leur époque, ils le font avec hargne et sans jamais dévier de l’éthique DIY chère au mouvement punk.
En écoute : le nouvel album de The Black Angels
The Black Angels peuvent se targuer d’avoir grandement contribué au renouveau du rock psychédélique avec leur 5 albums qui ont inspiré toute une tripotée de groupes et leur rôle actif dans la scène d’Austin, Texas. Leur 6ème album sort le 21 avril et est d’ores et déjà en écoute sur le site de la radio américaine NPR !
Nouveauté : La Love Room
Le Club devient la Love Room ! Il accueillera des animations, permettra de retrouver un peu de fraicheur en cas de canicule mais pourra également faire monter la température à l’occasion d’un quart d’heure américain ou d’un dancefloor survolté…
FOCUS PROGRAMMATION : Les sons urbains
Si le rock reste au cœur de la programmation, des sons plus urbains s’imposent. Moderat et Flying Lotus flirtent avec la pop électronique, quand Mick Jenkins ou Danny Brown dessinent un grand écart entre Hip Hop et Black Soul.