The Mystery Lights
Le groupe The Mystery Lights a vu le jour dans le quartier de Brooklyn, initié par cinq californiens le projet puise autant du côté rock côte Est que côte Ouest (bah oui vous ne le saviez pas, il n'y a pas que dans le hip hop qu'on oppose les deux côtes). Savant mélange entre garage rock des années 60 et punk de la fin des années 70, parsemé d’une touche de psyché et de dirty blues, The Mystery Lights balance une énergie incroyable sur scène. Ils ont récemment partagé l’affiche avec des groupes tels que Night Beats, King Gizzard & The Lizard Wizard, Devendra Banhart, rien que çà ! > Lire la suite
Breakbot
Quoi ?! Breakbot à TINALS ?! Bizarre, non ?! Et non et non, logique plutôt ! Programmer Breakbot revient à rendre hommage à l’extraordinaire créativité et longévité d’Ed Banger Records. Programmer Breakbot, c’est promouvoir la musique électronique qu’on aime, celle des grooves chaleureux et du disco d’un autre temps. Programmer Breakbot, c’est faire le pari que les fans de Shellac, de Beach House et de Kamasi Washington viendront communier et danser ensemble (faites attention quand même aux fans de Shellac). Parce que Breakbot, pour nous, ça signifie être ensemble. Et puis Pedro Winter, boss de Ed Banger, est clairement la synthèse entre Steve Albini et Ty Segall, sans guitare mais avec des boutons et des machines, alors forcément... > Lire la suite
No Zu
Mais, mais.. Ils sont fous non ? No Zu, fous ? Non non. Enfin, peut être… Mais de manière sacrément créative en tout cas. Octuor (vous vous coucherez moins bête) australien et créateur du courant « Heat Beat », No Zu fait dans l’expérimental. Voire même dans le paranormal. Psycho-dance-post-punk-funk, voilà une étiquette, relativement peu utilisée, qui pourrait coller à l’univers de ces chamans loufoques (on vous en conjure, allez voir le clip de Ui Ya Uia, meilleure réalisation vidéo depuis Les Oiseaux d’Hitchcock). Le déhanché, tout en en bras qu’on désarticule dans l’air, s’avère complexe à assimiler mais diabolique une fois maitrisé. Ramenez votre plus belle poupée vaudou, ça va chamaner grave. > Lire la suite
Battles
Aux armes ! Vivre un live de Battles n’est pas, comme son nom pourrait le laisser présager, une bataille. C’est une guerre. Une guerre des nerfs, pour survivre à la frénésie math rock du set ultra dansant des new new-yorkais. Une guerre des coudes, pour tenter de s’extraire de la masse d’une base de fans fous furieux, toujours plus nombreux. Une guerre des boutons, tant la précision du groupe fait désormais légion. Une guerre de position, tant vous n’hésiterez pas une seconde avec l’autre super groupe qui jouera en même temps. Une guerre, où on ira bien armés. D’amour bien sûr. > Lire la suite
Destroyer
Grande joie de fan que de recevoir le talentueux canadien Dan Bejar. 20 ans ( déjà?) de songwriting au sein de The New Pornographers, Swan Lake (avec des membre de Wolf Parade) ou sous le patronyme de Destroyer (déjà 11 albums…). L'homme a le talent des grands. Du lyrisme à l'intimité, du rock new-yorkais à la pop dans ce qu'elle a de plus belle (Bowie, Neil Hannon, nos héros Écossais d'Orance Juice). Nul doute qu’après avoir revu ou découvert l'homme de Vancouver, vous vous direz: « This Night" (2002), j'en ressors « Kaputt" (2011). Le mois de Juin est la "Poison Season" (2015). Nice. > Lire la suite