Le Superhomard
Attention : pop feel-good en vue. Basses soyeuses et psychédéliques, cordes et guitares moelleuses, Le SuperHomard crée une atmosphère irrésistible. De celle qui chaloupe, qui légère et qui papillonne. > Lire la suite
Black Bones
Vous vous souvenez de Bewitched Hands ? Si vous aimez la pop mélancolique, les guitares lumineuses et de manière plus générale, les jolies mélodies ; ces Rémois séparés en 2014 sont sans doute loin d’avoir disparu de vos petits cœurs de popeux. Bonne nouvelle : Anthonin Ternant, l’une de leurs têtes pensantes, reprend du service au sein de Black Bones ! Adieu le spleen, bonjour les synthés et les guitares sautillantes. Mais pas de panique, les mélodies accrocheuses et cette voix reconnaissable entre mille sont restées intactes. > Lire la suite
Les Rustyn’s
Du Rhythm & Blues Nîmois, influencés par Larry Williams et les High Numbers, Finalistes de la Bourse des Jeunes Talents locale, ils ont la vingtaine à peine et prennent désormais du galon avec un album à paraître bientôt et beaucoup beaucoup de concerts. > Lire la suite
Mcbaise
Originaire du sud de la France, où il a joué d’à peu près tous les instruments dans un groupe de jazz avant d’écumer les rades londoniens au sein de plusieurs groupes de rock, Mcbaise est le projet d’un ovni au parcours sinueux. Un parcours qu’il a toutefois su condensé en 2 albums de pop jazzy, teintés d’une touche psyché 60’s que ne renierait sans doute pas Jacco Gardner que l’on sait lui aussi fanatique d’instrumentations vintage. Mc Baise produit une belle pop, qui foisonne de toute part, avec ce petit côté slacker en plus – influencé par cette relation amour-haine qu’il entretient avec Cannes, sa ville d’origine, aussi ensoleillée qu’il l’estime ennuyeuse à l’année. > Lire la suite
DYGL
Alerte: Albert Hammond Jr aka l’homme qui a révolutionné le rock des années 2000 avec son jeu de guitare, vient de miser sur quatre Japonais dont on ne sait absolument rien. Nul doute qu’après la vague de groupes formés par des gars qui ont grandi pendant les 90’s, il faudra désormais compter sur ceux qui ont passé leurs années de jeunesse une paire de Converse aux pieds, dans leur chambre, à rêvasser au son des Strokes, Rakes et autre Libertines. Les petits tubes en puissance de DYGL ne durent que 3 minutes et misent avant tout sur le dialogue de deux guitares à l’efficacité monstre… Bref ils font du rock comme on en faisait il y a une quinzaine d’année. Et s’ils n’étaient pour l’instant pas parvenus jusqu’aux esgourdes européennes, on se sent un peu privilégié de les avoir à TINALS cet été. > Lire la suite