Il y a 4 ans, The Glitch Mob sortait « Drink The Sea ». Premier album du trio californien et premier succès fulgurant. Coachella, Loollapalooza, le groupe laisse entrevoir au monde entier toute sa maitrise en terme d’électronique dance floor, sous fond de tempo hip-hop et de machines triturées. D’autres boivent la tasse, chez Glitch Mob on boit la mer. Bah ouais.
4 ans d’attente pour pondre « Love Death Immortality », second essai qui s’annonce déjà comme « tailler pour le live », d’après les dires des protagonistes. Intenses, variés, singuliers, accessibles mais complexes, les morceaux des américains sont une ode à l’expérimentation. L’univers est aussi cinématique, mais aucun visuel n’est prévu : tout se joue dans les sens, le corps et les sensations.
On n’est pas peu fier de recevoir le phénomène à This Is Not A Love Song. Vous en doutez ? Appelez votre cousine Rachel de Los Angeles, dites-lui que vous allez voir The Glitch Mob. Elle ne répond plus ? Normal, elle a du s’évanouir. Encore une fois, on vous aura prévenu !
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