En écoutant Nots pour la première fois, surgit dans notre esprit une question récurrente, limite philosophique : comment se fait-il qu’un groupe soit-il meilleur qu’un autre ? Par quels procédés sommes nous entrainés dans l’univers d’un artiste plus que d’un autre ? Pourquoi deux groupes aux styles semblables ne procurent-ils pas la même sensation ?
La meilleure rédaction gagne 2 pass pour TINALS 2016.
Non, plus sérieusement, Nots a beau faire du garage punk de manière tout à fait classique, il y a chez ces quatre filles de Memphis quelque chose (une hargne ? une atmosphère ? une nervosité ?) qu’on ne saurait expliquer mais qui nous prend aux tripes. Quelque chose qui s’allume dans notre tête et qui taquine notre thorax, dés la première écoute de We Are Nots, excellent deuxième essai du groupe.
Attention, pas plus d’une page pour l’introduction !
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When listening to Nots for the first time, we can’t help asking almost philosophical questions : why is a band better than another ? Why are we more receptive to the universe of an artist more than the one of another ? Why don’t two bands who sound almost the same way give the same feelings ? The best answers win two tickets for TINALS 2016.
More seriously, even though Nots make rather classical garage-punk, we can find something with these four girls from Memphis (a strength, an atmosphere, a nervosity) that we can’t explain but which makes us shiver. Something which lits up in our head, which teases our chest, when listening « We Are Nots » the excellent essay of the band for the first time.
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