This Is Not A Love Song propose Beau Weekend
Paloma, en partenariat avec Come On People, annonce le lancement de Beau Weekend, événement singulier qui viendra s’ajouter à l’héritage de This Is Not A Love Song. Ce nouveau festival se positionne comme un spin-off audacieux de TINALS, offrant une perspective différente dans le paysage des festivals de musiques actuelles Beau Weekend s’inspire de l’ADN du festival TINALS devenu malgré lui, un élément mythique de l’histoire de Paloma. Les musiques indépendantes toujours comme fil conducteur, autour des esthétiques pop, folk, rock et musiques extrêmes telles que défendues durant les 7 années d’existence du festival. Ces musiques alternatives qui se nourrissent également des tendances hip-hop, groove ou jazz, ces groupes qui réinventent les codes seront au cœur de cet événement, en mettant l’accent sur la découverte artistique et l’intimité entre les artistes et le public.
Un spin-off de This Is Not A Love Song tel qu’il existait en 2014
Beau Weekend repart en 2014, année charnière dans le développement de This Is Not A Love Song, pour raconter une nouvelle histoire, parallèle à celle du festival originel.
Ce spin-off se détache de l’idée préconçue d’une grande production. Il ne s’agit pas de répéter ce qui a déjà été fait, mais de proposer un nouveau chapitre, un nouveau souffle, où la volonté de créer une expérience authentique l’emporte sur toute logique plus « commerciale ». Pas d’autre objectif que de prendre du bon temps, d’offrir une bulle de liberté, un espace de joie, à l’abri du chaos d’un monde incertain, parfois inquiétant, il faut bien se l’avouer. Ainsi, comme en 2014, Paloma et Come On People proposent une trentaine de groupes sur la scène extérieure Flamingo aux accents estivaux bucoliques, la grande salle, Main Room, chaude et enivrante, l’intime Club Deville, et le Patio si singulier dans sa proximité avec le public.
Une installation intime, plus spontanée, moins stéréotypée, où tout est pensé pour se mélanger, échanger et se rencontrer.
Un événement sans compromis, de l’émotion comme priorité
Beau Weekend s’émancipe de la nécessité de présenter des têtes d’affiche ou de jouer sur la popularité des groupes. Ce n’est pas une question de notoriété, mais de propositions artistiques riches et audacieuses. Notre ambition est de créer un temps d’émotion unique, une alchimie particulière entre les artistes et le public, sans se laisser guider par les attentes habituelles. Ce qui compte, c’est la connexion et l’authenticité. Si vous ne connaissez pas la majorité des artistes proposé·es, c’est déjà pour nous un petit pas de gagné, car notre désir est simple, que vous repartiez de cette expérience en vous disant « ce groupe était incroyable, je ne le connaissais pas et je me suis pris une énorme claque ! ». En 2025, soyons donc curieuses et curieux.
Une nouvelle histoire inspirée du mouvement de pensée « Small is Beautiful »
Beau Weekend fait sien le courant de pensée « Small is Beautiful », tel qu’exprimé par l’économiste britannique Ernst Friedrich Schumacher. Nous revendiquons un retour à des événements plus intimes, plus intenses et plus sincères, à taille humaine où chaque instant compte, où l’intimité des échanges entre artistes et public est au cœur de l’expérience. Nous avons donc considérablement réduit la jauge : uniquement 3 000 billets seront mis en vente pour chacune des soirées du festival. Pas de tarification dynamique non plus, pas d’inflation sur les prix, ceux-ci
resteront stables jusqu’à l’épuisement des places proposées. Soyons réactives et réactifs, les places sont limitées et tous les billets sont en vente dès le 6 mars.
Un événement à la fois local et universel
Beau Weekend se déroulera dans l’intimité de Paloma et de la respiration bucolique de son « jardin éphémère », lieu devenu iconique pour les musiques émergentes en France, mais qui invite aussi à un voyage plus lointain, à une exploration de nouveaux horizons artistiques. Tournée vers l’Europe, bien évidemment, nourrie par la scène anglo-saxonne assurément, pimentée par les scènes d’Amérique du Nord (US & Canada/Québec), la programmation fera quelques excursions par l’Amérique Latine, l’Afrique et l’Asie.
En intégrant les valeurs de proximité (circuits courts et produits de saison pour le bar et la restauration), de partage et de respect du public dans toute sa diversité, cet événement se veut être un laboratoire d’émotions, une plateforme où l’humain est au cœur de l’expérience avec des espaces ludiques et de détente, fun ou impertinents comme nous aimons le proposer, avec toujours une attention particulière pour la tolérance et la bienveillance.
Une programmation libre et expérimentale
Les artistes programmé·es lors de Beau Weekend sont des créateurs et créatrices audacieuses, qui ne craignent pas de prendre des risques. La diversité et l’expérimentation sont au
cœur de ce nouveau rendez-vous. Beau Weekend se veut être une plateforme ouverte aux talents émergents ou artistes de niches, une scène où des univers musicaux variés se croisent et offrent au public des moments inoubliables. Nous faisons le choix de propositions artistiques qui créent une vraie rencontre entre l’artiste et le public, qui vont au-delà de l’aspect « show » pour devenir offrir des expériences collectives fortes et authentiques. Pas de « grandes révélations artistiques » à dévoiler en annonçant un groupe par jour, au compte-goutte, pour faire saliver dans les prochaines semaines. Soyons patientes et patients, la programmation sera révélée début avril, jeune, attentionnée à l’émergence d’artistes féminines, curieuse et pleine de promesses.
Aujourd’hui, nous le savons, le monde est incertain, alors vivons-le pleinement et ce, dès maintenant ! Ne suivons pas la majorité, osons rêver autrement.
Be TINALS <3
Une vraie liberté ne se proclame pas, elle s’exerce
Nous avons souvent affirmé qu’un festival doit être une parenthèse éphémère et mouvante. L’automatisme, les éditions qui se succèdent machinalement, n’ont jamais fait partie de nos promesses, ni de nos envies. Une vraie liberté ne se proclame pas, elle s’exerce.
Nous pensons aujourd’hui qu’il est temps, temps de réécrire un nouvel album, temps de trouver de nouvelles inspirations, de se dessiner une nouvelle aventure. Parce qu’il faut continuer de savoir rêver, innover et se réinventer, TINALS en 2020 se met au vert et se pose, le temps d’une saison, pour se projeter dans le futur, imaginer à quoi pourrait ressembler notre/votre festival de demain.
Oui, le monde change et nous ne pouvions nous résigner à avancer sans nous interroger sur ce que nous sommes et sur la manière dont nous souhaitons vous faire voyager demain.
Comme tout le monde nous avons, nous aussi, envie de nouveaux horizons, de paysages insolites. Mais cela ne peut se traduire aujourd’hui sans prendre le temps de réfléchir sur ce que nous produisons. Faire un pas de côté et se retrouver autour des questions qui nous animent depuis quelques années :
Peut-on porter un événement de type festivalier dans un contexte d’urgence écologique ? Après 7 ans d’existence, sommes nous toujours libres et indépendants dans nos choix artistiques ? Quelles nouvelles expériences collectives proposer à des citoyen·ne·s éclairé·e·s et responsables ? Comment interagir avec les nouvelles pratiques culturelles ? Face à l’augmentation constante des coûts artistiques, des frais de sécurité, quelles solutions économiques pour continuer à porter un festival singulier ?
Pendant un an, nous décidons donc de nous mettre en mouvement pour réfléchir à notre avenir : prendre la liberté de ne pas faire le festival sous sa forme originelle en 2020, mais proposer des rendez-vous musicaux décalés, des performances artistiques, des ateliers de réflexion , des rencontres et tables rondes, qui rythmeront la saison. Réfléchir ensemble et mieux revenir dès 2021 pour de nouvelles aventures, engagées, passionnées, passionnantes, joyeuses, festives et conviviales.
A très très vite.
Les équipes de Paloma & Come On People
C’ÉTAIT BIEN, HEIN ?
On pourrait vous inonder de mots clés (#20000mercis, #joie #partage #soleil #amour #glaces #yoga, #badaboum #bongenie #indéforever #confiance #contresoiréedanslacuisine etc.) mais cela ne nous ressemble pas.
Ce fut sans doute la plus belle édition. Celle d’un record de fréquentation – croissance dont on se fout en soi aussi royalement que d’un tee-shirt d’Indochine mais surtout celle de l’harmonie et de la grâce. Oui, la putain de grâce… Ce moment qui n’est pas façonné, qui n’a pas de recette, cet envol, ce frisson qui palpite sur la peau en plein soleil.
Alors, on va faire court, on est encore sous le coup de cette émotion qui nous a permis de tenir le rythme, on va tenter de la retenir encore un peu. La parenthèse est refermée ou presque (#passiondémontage). Alors, à vous de nous raconter en quelques mots ce que vous avez aimé, préféré, vécu. Vos commentaires sont précieux : ils sont le livre d’or, la médaille, le butin.
Et, parce qu’on le pense vraiment et sans hashtag : MERCI
#tinals #avousdejouer
Questionnaire
On peut s’accorder là dessus sans trop s’avancer, c’était une super 7° édition 🎊 🎉 Il est venu le temps de faire le point ensemble, à vous de nous conter vos envies, vos coups de cœur, vos coups de gueule… Bref, votre festival tel qu’il s’est passé, tel que vous le rêvez.
Vos avis, vos réponses sont primordiales, on apprend en dialoguant, aussi ! Merci d’avance pour vos réponses ! ici !